L’efficacité
de la clôture anti-terroriste reconnue par le Jihad islamique
Centre d’Etudes du Terrorisme, 15 novembre
Le 11 novembre dernier, le dirigeant du Jihad islamique Abdallah Ramadan Shalah
a accordé une longue interview à Al-Manar, la chaîne de télévision du Hezbollah. Durant l'entretien, Ramadan Salah a reconnu
pour la première fois que la barrière de sécurité israélienne représentait un obstacle important pour les organisations terroristes
(la « résistance »).
Ramadan Shalah a ajouté que les attentats suicides (istishhad) étaient le
« choix stratégique » du peuple palestinien et visaient à « créer un équilibre de force et de dissuasion »
avec l'ennemi. Shalah a affirmé que les organisations terroristes ne prévoyaient pas de renoncer aux attentats suicides, mais
a précisé que leur exécution dépendait de plusieurs facteurs. « En Cisjordanie, par exemple, il y a une barrière de séparation
(…) qui est un obstacle à la résistance, et si elle n'était pas là, la situation serait tout à fait différente. »
Le Jihad islamique est responsable du plus grand nombre d'attentats- suicides ces dernières
années….Lire la suite
Islamic Jihad leader publicly admits that Israel's security fence is an important
obstacle to the terrorist organizations
Il est facile de faire la morale ou dire quoi faire lorsque cela ne se passe pas dans votre cour
Cette barrière a été érigée uniquement dans le but d’empêcher les gens du quartier ouvrier de Parc Extension
dépourvue d’espaces verts, d’aller se promener le dimanche dans les parcs du riche quartier de Ville Mt-Royal.
Si
à Montréal l’on peut construire une barrière pour « protéger » les bourgeois de ce quartier de riches, pourquoi
Israël ne pourrait faire la même chose pour sauver la vie de ses citoyens. A Montréal de nombreux murs sont construits le
long des autoroutes pour protéger les oreilles des citoyens Canadiens, pourquoi Israël ne pourrait pas faire la même chose
mais pour protéger la vie de ses automobilistes ?
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Pouvez-vous dire la différence entre ces murs?
Réponse plus bas
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Le mur de la photo 3 protège des vies La photo nous montre une section de la barrière de sécurité qu’Israël
est forcée d’ériger pour se protéger des terroristes.
Dans des
zones urbaines ou le long de certains autoroutes, afin de se protéger des tirs de francs-tireurs embusqués,
une infime portion n’excédant pas 7% de la longueur totale
est sous forme
de mur en béton.
Le reste est une simple clôture
qui peut être déplacée facilement le jour où les Palestiniens décideront d’accepter l’existence d’Israël
et seront prêts à négocier les frontières de leur État.
Les autres photos 1 ,
2 , & 4
n’ont pas été
prises en Israël, mais à Montréal !
Ce mur protège le sommeil des Montréalais le long de l’autoroute 20 dans le quartier
de Lachine et est
en béton sur 100% de sa longueur
Le mur numéro est un mur entre Gaza (autorité palestinienne) et l’Égypte.
Voir plus bas, d’autres murs de sécurité à travers le monde
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Contrairement au mur de Berlin dont le seul but était de séparer et
de tuer ceux et celles qui tentaient de le franchir, la seule mission de la barrière de sécurité d’Israël est
d’empêcher les terroristes « Islamikazes » de passer et ainsi sauver de nombreuses vies.
Afin de protéger
les oreilles et la tranquillité des résidents, le long de l’autoroute #20, dans le quartier Lachine, le long de l’autoroute
25 dans Ville d’Anjou à Montréal, le long de la 15 à Brossard et dans de nombreux autres endroits, le service de la
voirie a construit de très grands murs de béton. En Israël, pour se protéger des terroristes, le gouvernement a construit
une barrière anti-terroriste dont une infime portion ne représentant pas plus de 7% est en béton. Dans le quartier très huppé
de Ville Mt-Royal à Montréal la municipalité, le long du boul. l’Acadie, a construit une barrière pour empêcher les
résidents du quartier plus prolétaire de Parc Extension de venir se promener et ainsi utiliser les très beaux parc de ce quartier
de riches. Le quartier de Parc Extension est un quartier ayant une forte proportion d’immigrants en provenance de pays
en voie de développement et n’a pratiquement pas d’espace vert.
Ne pensez vous pas
que, si au Canada, il est normal de construire des murs de bétons le long des autoroutes, de construire des barrières pour
protéger les oreilles, la vue et la « tranquillité » des bourgeois bien nanti de Ville Mt-Royal, n’est-il
pas encore plus normal et important de construire en Israël une barrière pour sauver des vies?
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Le 9/10/03 Communiqué de presse de M. Nissim Zvili, Ambassadeur d'Israël en France La Barrière de Sécurité
La
décision de construire une barrière de sécurité fait partie de la lutte contre le terrorisme. Il s'agit là d'un moyen passif
supplémentaire pour empêcher les terroristes palestiniens d'atteindre les civils israéliens. Il n'est question ni de frontière,
ni de barrière définitive.
LE SEGMENT MURAL Le long de la barrière
de sécurité il existe un mur de béton, mais il ne mesure que 7 kilomètres sur les 170
! et il est construit sur le territoire israélien ! Ce mur est édifié sur 3 tronçons. Le premier
tronçon longe la ville de Kalkylia mais ne l'entoure pas. En effet il suit principalement le tracé de la nouvelle autoroute
nationale numéro 6. Le deuxième tronçon passe près de Tulkarem et le dernier borde un village israélien : Bat Hefer. Ce type
de mur existe sur les autoroutes européennes en tant que mur anti-bruit. Il a été bâti bien avant l'édification de la barrière
de sécurité, à la demande de la compagnie internationale (non-israélienne) chargée de la construction et du fonctionnement
de l'Autoroute n° 6. Cependant, des tireurs palestiniens ont visé régulièrement les employés de cette compagnie internationale.
C'est alors que, malheureusement, ce mur acoustique est devenu un mur balistique.
L'ESSENTIEL DE LA BARRIERE Les
163 kilomètres restants sont constitués d'une barrière électronique. Comme celle qui existe depuis de nombreuses années autour
de la Bande de Gaza, avec le Liban, la Syrie et la Jordanie. Ces barrières n'ont jamais empêché la signature de paix entre
Israël et ses voisins. De plus, elles peuvent se faire déplacer facilement et leur tracé a connu des changements lors des
accords de paix. La partie Nord de la barrière dispose de 41 portes de passage
pour les agriculteurs palestiniens ayant des champs de l'autre côté de la barrière ainsi que pour les élèves se rendant à
l'école. La traversée des portes est assurée en coordination avec l'armée israélienne et en accord avec les besoins des civils
palestiniens.
A L'EXTERIEUR DE LA BARRIERE Il ne s'agit pas d'une annexion de territoires palestiniens. Sur les
170 kilomètres déjà construits, seulement 1.6% du territoire disputé a été entamé. En cas de volonté d'annexion il serait
ridicule de clamer une annexion sur 1.6% du territoire. De plus, Israël s'est engagé à payer un fermage pour chaque mètre
carré au-delà de la barrière. La majeure partie de la terre entamée est une terre non cultivée et qui n'appartient pas à des
propriétaires privés. A l'ouest de la barrière, il restera alors moins de 5.000 Palestiniens. Ils recevront d'office tous
les papiers nécessaires pour passer d'un côté à l'autre
A L'INTERIEUR DE LA BARRIERE Le Gouvernement israélien
a pris la décision de ne pas construire une barrière à l'Est des territoires disputés. Cela va laisser sans doute plus de
90 % des territoires sous contrôle palestinien. Grâce à cette barrière, les « check points » et les barrages entre les villages
palestiniens ne seront plus nécessaires ce qui allégera considérablement la vie quotidienne des Palestiniens. Trois grands
points de passage pour les véhicules (les poids lourds etc.) existeront à Tulkarem, Jénine et Kalkylia comme celui qui existe
déjà à Carni dans la Bande de Gaza. Ceci permettra de reprendre les activités d'échange commercial entre Israéliens et Palestiniens.
Depuis l'édification de la barrière le nombre de Palestiniens autorisés à travailler en Israël a triplé.
INDEMNITES
Israël a ouvert un fond d'indemnités de la somme de 250 millions de shekels soit 50 millions d'euros. Ce qui correspond
à 5 ans de revenu pour les Palestinien affecté par la construction de cette barrière. Cette somme est renouvelable tous les
5 ans. Durant la construction de la barrière 63.000 oliviers ont été déplacés. Le lieu de leur réimplantation finale est déterminé
par leurs propriétaires palestiniens. Aucun village n'est privé de sa source d'eau. Chaque villageois peut continuer à travailler
comme auparavant. La plupart des Palestiniens méritant des indemnités ne les utilisent pas, à cause des ordres politiques
reçus par l'Autorité Palestinienne.
Pour plus de renseignements vous pouvez consulter le site Internet officiel de
la Barrière de sécurité : cliquez ici
General Info and Statistics
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